Le pourquoi du parce que

Bienvenue sur mon blog, sur lequel je parlerai de choses diverses et variées.

Pourquoi geek communicant d’ailleurs ?

Geek, parce que je passe beaucoup de temps à surfer sur différents sites, et parce que j’aime bien aussi les jeux vidéos, plus particulièrement les RPG (sur consoles portables), la fantasy, les mangas…

Communicant, car après quelques errances (bac STI, IUT sans diplôme à la fin et une licence en langues) j’ai suivi des études en communication, à l’école Sup de Pub. J’ai lancé ce blog pour me donner l’occasion d’exercer mes talents de « reporter ».

Après mon M1 en création digitale et une première expérience de webmaster, j’ai suivi une formation en alternance sur deux ans en développement web.

Mes talents artistiques

Si j’ai lancé ce blog (voir le post épinglé en page d’accueil) c’était pour développer mes talents d’écriture. Mais ce blog n’est pas le seul endroit où j’ai exercé mes talents artisitiques.

Avant ce blog

Ce blog ne fût pas mon premier lieu d’expression écrite sur le Net. Comme beaucoup de personnes de ma génération, le premier endroit où j’ai fait preuve de mes « talents » d’auteur a été Skyblog. Je n’ai plus idée du type de contenu que j’y ai partagé, mais cela ne doit pas être une grosse perte.

L’autre forme d’expression à laquelle je me suis essayé avant ce blog, fût la « création » visuelle. Mes œuvres sont toujours disponibles sur mon profil DeviantArt : iblendval.

Et c’est reparti ?

Voilà maintenant plus de 11 ans que la SEO war du gloubipub s’est terminée sur une victoire de l’équipe des créatifs (équipe dont je faisais partie).

Mais pourquoi en reparler alors ? Tout simplement car cet exercice m’a donné goût à l’optimisation pour les moteurs de recherche, et qu’ayant depuis lancé mon propre site j’ai continué les expérimentations de référencement.

Et le Gloubi dans tout ça ? Parmis mes tentatives sur mon site, j’ai continué sur la Gloubi wave, ce qui m’a fait suivre sur Google les résultats sur le terme « gloubi ». Et sur ce terme, le premier résultat en-dehors de tout ce qui touche à Casimir je suis tombé sur Gloubiweb, site sentant bon le web 1.0 proposant, entre autre, plusieurs petits « scripts » pour animer notre propre site.

Et je me suis dis, pourquoi ne pas faire des tutos pour en expliquer le fonctionnement, et les recréer à ma manière avec les technos d’aujourd’hui (2022). Tout ceci pour essayer de se repositionner sur le terme gloubi.

À suivre…

Un peu de pub

Je vais avoir besoin de votre aide, car récemment la structure d’un site sur lequel je travaille (le site portfolio de l’actrice Gaia Said – voir fiche) a grandement changé. En effet, ce site passe d’une structure « classique » de plusieurs pages (6 pour être précis) à une page unique (ce que dans le jargon on appelle un site « one page ».

Pourquoi en parler ?

Si j’en parle, c’est que pour référencer correctement ce genre de site, cela est plus difficile qu’avec un site disposant de plusieurs pages, car l’on donne alors moins de matière aux robots des moteurs de recherche, donc moins d’informations pour classer notre site de manière optimale.

Une des « techniques ancestrales » du référencement est de placer des liens vers notre site sur d’autres, mais avec parcimonie et de manière plus fine que les pages contenant plusieurs dizaines de liens que l’on trouvait à foison il y a une dizaine d’années (depuis, ce genre de pratique est beaucoup moins efficace, voire même sanctionné).

Mais par rapport à d’autres sites qui commencent de zéro maintenant, le site est déjà connu des moteurs de recherche et dispose déjà d’une certaine « web cred ».

10 ans… ou plus

Cela fait maintenant 12 ans que je suis né sur le web ici même en tant que Geek Communicant.

Que de changements

À l’époque où j’ai créé ce blog (et par la même occasion mon pseudo) j’étais en période de pause entre deux formations, et je savais que j’allais intégrer une école de communication/marketing. J’ai alors profité de cette période pour commencer à m’exercer à communiquer (comme expliqué dans l’article épinglé, qui est d’ailleurs le premier article de ce blog).

Depuis, j’ai terminé cette école de communication et j’ai par la suite suivi une formation en développement web. Et maintenant je travaille dans ce domaine (développement web).

Le JavaScript et moi

Dans mon dernier article j’avais présenté une carte interactive créée à l’aide de la librairie Leaflet.

Mais cette carte n’est pas la première de mes expérimentations avec une librairie et le langage JavaScript.

Sur mon blog pro je parle plus en détail de ces différentes réalisations, en JavaScript « vanilla » et avec jQuery.

Si vous voulez seulement voir les résultats, rendez-vous directement sur ma page de démos : « Les démos du Geek Communicant« .

C’est pas compliqué pourtant…

La ville de Paris viens de lancer une nouvelle action de propreté : des rues sans mégots.

La page de présentation de l’initiative inclus une carte, mais sous forme d’image, et en plus en résolution ne permettant pas de zoomer.

M’intéressant actuellement aux cartes interactive sur les sites Web, j’ai décidé de refaire cette carte avec la librairie Leaflet.

La partie la plus dure de cet exercice a été la mise en forme du tracé des différentes rues (extraits des linéaires des voies fourni sur Paris Data).

Le résultat final est visible sur mon site.

Quelques explications

Si vous êtes lecteurs réguliers (et même si vous êtes nouveau) de ce blog, vous avez pû constater que je me suis fait discret depuis un certain temps.

Avec mes différentes formations et expériences professionnelles j’ai eu moins de temps à ma disposition qu’à la naissance de ce blog (et par la même occasion du Geek Communicant).

Malgré la baisse de mon temps disponible, je n’ai pas complètement déserté l’Internet. Tout d’abord j’ai créé mon propre site geekcommunicant.com, sur lequel je me suis alors concentré. Et puis en ce qui concerne les réseaux sociaux, j’ai pendant un temps été très actif sur Tumblr (geekcommunicant.tumblr.com), mais depuis plusieurs mois je m’intéresse à l’écriture de fanfiction.

Vous pouvez me trouver sous le pseudo geekc sur FanFiction.net et sur ArchiveOfOurOwn.org.

C’est reparti pour un tour

Et voilà, une fois de plus me voilà reparti dans des études. Mais cette fois c’est en alternance.

Après être allé vers les langues, puis la communication/marketing et la création graphique pour le web, me voici parti pour me former (enfin) au développement web.

En effet, tout ce que je connais actuellement en développement (voir mon site pro) je l’ai appris tout seul comme un grand. Mais pour travailler dans le domaine ce n’est pas assez.

Quelques évolutions sur mon site

Depuis mercredi dernier, le 26 mars, mon site tourne sous le CMS MODX. La partie blog reste sous WordPress.

sinon, je suis toujours en recherche d’un nouveau poste.

Dans le Noir ?

Le week-end dernier je suis allé dîner au restaurant Dans le Noir ? (51 rue Quincampoix, 75004 Paris).

Le concept

Le concept Dans le Noir nous permet à nous, voyants, le temps d’un repas, de nous plonger dans le monde des non voyants. De plus, tout le personnel en salle est non ou très mal voyant.

Déroulé de mon repas

Pour faciliter le travail en cuisine et du personnel en salle, le restaurant ne propose que deux services par soirée ; il faut donc réserver.

Avant de pénétrer dans la salle de restaurant, nous avons placé nos affaires dans un casier dont on conserve la clé, et choisi notre formule: entré + plat ou plat + dessert ou entrée + plat + dessert (toutes ces formules sont « surprise », c’est-à-dire que c’est seulement en sortant que l’on saura ce qu’on a mangé).

Après avoir enfermés nos affaires, nous avons été présentés à la personne qui s’occupera de nous tout au long de notre repas. Après s’être mis en file indienne, en se tenant pas l’épaule, nous pénétrons dans le monde de l’obscurité.

Ce soir là, la personne qui m’accompagnait et moi, avons été placé à une table de 5, avec 3 autres personnes.

C’est alors que nos différents plats sont arrivés. Et manger dans le noir, ce n’est pas une mince affaire. Personnellement, et je n’ai pas honte de le dire, j’ai beaucoup utilisé mes doigts.

Une fois le repas terminé, nous avons été reconduis à la lumière, de la même manière que nous l’avions quittée. C’est à ce moment que nous avons découvert ce que nous avions dans nos assiettes, et il faut croire que la vision joue dans notre perception du goût, vu que je n’avais pas deviné certains ingrédients.

Ma conclusion

J’ai bien apprécié ce repas dans le noir, et le recommande à tous mes lecteurs n’ayant pas peur de l’obscurité.

Site du restaurant Dans le Noir ?